L'appartement de Laureen

Après un trajet de bus désagréable (l'heure de pointe, C'est plein de monde. Pauvre Laureen et sa hiane des contacts physiques), Laureen arriva juste à temps. Elle notait l'heure à laquelle ses ami se connectait sur IRC. Or, ce jour-là, son ami Nox, toujours en ligne à cette heure-là, semblait être hors-ligne.Laureen tappa un message

Ryutoo says: Hello! Anyone's here?

Pas de réponse. Dommage, elle avait rendez-vous avec lui pour qu'ils puissent auguementer leur points d'expériences sur des MMO variés. Laureen poussa un souprir. Puisqu'il ne semblait pas se connecter, elle se remit à la couture et alluma la télévision pour voir les dernières nouvelles

Après avoir fini son manteau, un beau gunner coat noir, au col haut, et à manches longues (Voir ce manteau), Laureen décida que s'en était assez. Elle attrapa son portable,le mit dans son étui, plia son manteau, le coordona avec quelques accesoires (des gants, une paires de shourts avec des leg-warmers, des collants, un débardeur noir et quelques barettes) et sorti. Il faisait beau, elle décida d'aller jouer à Imagine dans le parc à côté de son immeuble

Laureen rentra dans son appartement à toute vitesse. Elle avait eu très peur, et elle avait entedue d'autres sirènes au dehors. Elle regarda par la fenêtre et s'aperçu que le pont était dumonté d'uneongue trainée de fumée épaisse. Elle ressentait un tr`;ès mauvaise présentiment et alluma la télévision pour avoir les bulletins de nouvelles

Admin Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 02/07/2007

«Une décision audacieuse, monsieur Mïng! Mais est-ce que votre ruse portera fruit?»

C'était un jeu télévisé ridicule. Un monsieur aux allures asiatiques suait de tout son front devant une petite table sur laquelle était posée un «buzzer». Suspense...Suspense...est-ce que sa ''ruse'' portera fruit...?

Avant que ce sympatique monsieur Mïng n'ait le temps de connaitre le résultat de sa fameuse ''ruse'', le programme fut interompu par un bulletin de nouvelles. Bon timing, Laureen.

L'animatrice est assise à son bureau comme à l'habitude, mais une barre rouge défile dans le haut de l'écran. Des phrases du genre y sont écrites:

«Des stations de secours ont été établies dans les régions de...» «Toute morsure ou blessure infligée par ces ''infectés'' s'infectera aussitôt...» «Tous les ponts connectés à la ville de New-York ont été détruits. On ignore si il s'agit là d'une mesure visant à empecher les gens d'entrer ou de sortir...»

L'animatrice prend alors la parole:

«Nous sommes en situation critique. Les manifestations violentes de plus en plus nombreuses se sont averées être en fait des masses d'infectés d'une maladie d'origine inconnue rendant toute personne atteinte aggressive et contagieuse. Le gouvernement recommande fortement à toute personne de rester chez soit et de ne pas sortir dehors. Barrez vos portes, barricadez vos fenêtres et restez à l'écoute.»

Et le bulletin se poursuit ainsi. Derrière l'animatrice, on peut appercevoir une carte de la région du Canada et du nord des États-Unis sur laquelle sont affichés des points rouges et des points bleus.

Laureen, en bonne parano qu'elle était court barrer ses fenêtres, portes, toutes les issues. Tout ne gardant ses clefs à proximité. Après avoir fouillé de fond en comble son appartement (qui, bien heureusement, ne contenait aucun ''infecté''), Laureen se rappela que toute blessure infligée par ses êtres s'infectait et les transformation donc en infectés. Une idée lui traversa l'esprit

*Mon gunner coat! C'est à croire qu'une mystérieuse force l'avait prédit (ben quoi? XD)*

Laureen enfile son ensemble consistant en un débardeur (pas trop décolleté, merci), son gunner coat... au moment de mettre les shorts + legwarmers, elle changea d'idées pour des shorts, ayant le reste de la jambe du pantalon attaché et lacé. elle enfila ses collants, ses gants, se fit un chignon et tassa ses cheveux avec des barrettes. Elle était moins vulnérable. Avait un petit peu chaud mais moins vulnérable. Elle passa des messages à ses divers contacts en Amérique du nord, leur demandant des nouvelles. Plusieurs ne répondait pas, c'était mauvais signe.

» Laureen ''Ryuuto'' Hill-Demers